domingo, 14 de março de 2010

en.vies

Je lis Julio Cortázar et ça me donne envie de faire l'amour tout un après-midi avec toi, dans un de ces jours chauds et si clairs d'été. J'ai envie de cette sensation d'être vide; fatigué mais heureux. J'ai envie de l'envie de prendre une duche seul après des heures couché, ou en courent pour l'appartement, avec toi. Et après nous serions prets pour sortir dans l'encore chaud coucher de soleil, prendrions un bus ou ta voiture, avec un léger sourire, ce sourire qu'indique la satisfaction de la cumplicité.
Nous trouverions les copins, peut-être eux avec le même (mais different, tu me comprends) surire, dans la nuit que comence a tomber fraiche et nous vides, fatigués et heureux en train de parler sur n'importe quoi si profond sans penser au landemain, parce que le landemain apporte toujours les angoisses.
Dès que tu me regarde je vais comprendre que c'est l'heure de rentrer ou que toi tu as envie de rester encore, et moi, je dirait oui parce que mon envie c'est ton envie.

Um comentário:

tashi; disse...

vá a merda. você e esse seu francês ininteligível.