Ma cigarette, elle me rappelle toujours de toi. Tes cheveux gris, ils sont comme les cendres qui grandissent au bout de mes doigts. La fumé respire quelque chose de artistique qu’il y a chez toi… cette masse noire qui a grandis avec ton être, tu l’acteur, le poète, le peintre, le musicien, le sculpteur, le fumant. Je sais si peu de toi. L’homme enfermé dans sa propre grandiosité médiocre. Je sens qu’on est si proche et quand même il y a une barrière entre nous. Je pense que c’est moi qui a crée cette barrière, dans cette nuit qui s’approchait des 0 dégrées. Moi j’ai vu la fumé et tout s’est déconstruit. L'homme a disparu au milieu du monde qu’avait entre nous. Et moi, j’ai pas peux remettre les pièces qui faisaient pas de sens dans ma tête, il avait déjà quelques années, pour te comprendre. On est tous perdu.
Maintenant je comprends. smile, smile, smile at me and I’ll feel free.
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